[ RP- pour qui veux venir :) ] Petit coucou aux CF

La surprise, la joie et la curiosité que lui procura le fait d’apprendre qu’une guilde, que dis je, une alliance toute entière de Kurzicks souhaitait s’associer aux cauchemar de dragon dans leur lutte contre le mal, le poussèrent à se préparer au plus tôt afin d’aller leur rendre une petite visite. De plus, la venue de certains d’entres eux dans le domaine des cauchermar de dragons, et surtout la sympathie dont ils firent preuve, attisèrent encore plus sa soif de tous et toutes les connaître.

IL demanda alors à son fier et puissant maître de guilde Shardar sans merci, la permission d’aller saluer ses nouveaux alliés.
Lorsqu’elle lui fût accordé, il s’empressa de laver son armures ( armure qui avait été confectionnée avec des écailles de Nagas et autres animaux marins aux écailles très résistantes. Il paraitrait même que la pièce principale du buste serait une écaille du dragon Brill elle même, le guerrier y avait fait graver les armoiries des cauchemar de dragon) et ses armes ( il disposait d’un marteau offert par Jalis Martelfer lui même en remerciement de quelques aides qu’il avait apporté aux nains. Il emportait aussi une épée, qu’il accrocha à sa ceinture, elle lui avait été offerte par un ami de la race des oubliés qu’il avait rencontré dans le désert ).
Puis il se parât de sa nouvelle cape fraîchement fabriquée par l’artisan de guilde, avant d’accrocher quelques sacoches contenants présents pour ses nouveaux alliés et vivres pour le voyage.
Une fois tous les préparatifs mient en place, il demanda une carte et des explications à un artisan qui était connu pour avoir fait le tour du monde et en connaître tous les recoins.

Enfin préparé, le jeune guerrier agrippa son marteau, monta sur le dos de son Drake ( chose peux commune, plutôt que monter un cheval, Jugernault avait eu la chance de sympathiser avec un Drake étant tout jeune. Au fil du temps les deux devinrent comme des frères soudés et vécurent de nombreuses épreuves ensembles. Son ami étant plus apte que le guerrier pour les longs déplacements lui servait donc aussi de monture ).
Une fois monté sur le dos de son ami, il traversa le domaine des cauchemar de dragon et en franchit les portes. Dès lors son cœur se serra, comme à chaque fois qu’il partait. Nul ne sait ce qui l’attend et il craignait à chaque départ de ne plus jamais revoir ses compagnons.


Les jours passèrent et le guerrier dût faire plusieurs haltes, tantôt dans des tavernes, tantôt dans des campements de fortune qu’il devait monter par ses propres moyens en pleine forêt.

Les dieux devait être avec lui puisqu’il ne fît aucune rencontre trop dangereuse, il affronta tout de même quelques écailleux mais rien d’important.
Cela faisait plusieurs jours que le guerrier était en forêt et semblait ne pas en voir le bout. Lorsque sa curiosité était attisée, le jeune guerrier perdait vite patience et c’est pourquoi il poussât un hurlement de colère en grognant d’une voie grave et puissante dans laquelle on pouvait sentir de la rage :

« Elle est encore loin cette forteresse ?!! »

Toujours sous l'effet de la colère le jeune guerrier glissa la main dans la sacoche accrochée à la selle pour en sortir le parchemin que lui avait remis le vieil artisan sur lequel figurait un plan et quelques indications afin d’atteindre « La citée-forteresse de KARAK SINDEN ». Mais ce geste ne lui fût pas d’une grande utilité, puisqu’une fois dans cette forêt il n’arrivai plus à se repérer.
Enfin quelques minutes plus tard, une éternité aux yeux du guerrier, le Drake grogna se qui fît relever la tête du jeune homme, il leva un sourcil et eût un sourir émerveillé devant le spectacle qui s’offrit à son regard. Elle était là, la cité-forteresse.
Toute la colère du guerrier partit à cette vue, il siffla pour marquer son contentement et dit d’un ton enjoué :

Faut reconnaître que même si on dirait une cage, il font des beaux trucs les Kurzicks.


Il continua son chemin, traversant un énorme pont, pour enfin se retrouver devant d’immenses portes aux motifs sublimes.
Allons bon, comment on entre là dedans maintenant? pensa le guerrier.

Il réfléchis quelques secondes et ne vît qu'un seul moyen pour être sur de se faire entendre. Il décida de mettre trois coups de poings dans les portes, le bruit attirerai sûrement quelqu’un...

Un novice accourt à la Taverne de la Forteresse
-"Euh Maître de Guerre Bellus, on tappe à la porte de la Forteresse,
Je fais signe aux archers?" Demande le novice
-"Dis-moi Novice, ta tête tu la veux comment?"Répondit Bellus
-"Non, mais Maître... "
-"Bon la procédure est d'abord d'identifier qui se présente, non?"
-" O...ui "Bafouilla-t-il
-"Bon ben vous lui demandez avant de tirer, vous savez cela sert aussi à ça les meutrières?
-"Bien Maître j'y cours sur le champ "
-"Tu vois que ce n'est pas compliqué, et reviens me voir pour savoir de quoi il en retourne, d'ici là j'aurai fini mon repas.
Allez zou"

Le Novice sortit de la Taverne en courant vers le poste de Guet en Gromelant:" C'est la dernière fois que je m'y colle aux nouvelles "

Loor fut réveillée par le bruit des poings cognant contre la porte. Sautant de sa paillasse, réveillant sa lionne, elle courut à la fenêtre pour voir ce qu'il ce passait. Là, elle vit un énorme guerrier, elle se dit que coté taille, il pouvait rivaliser avec bellus et haka, les deux guerriers officiers de sa guilde.
Intriguée, elle se pencha de plus en plus, à la limite de tomber dans la fosse.Elle ne connaissait pas cette armure, ces armoiries, d'où pouvaient bien venir cet homme?
Des pas préssés passèrent devant sa chambre, elle accoura et ouvrit sa prote pour arréter le jeune page et lui demander de quoi il en retournait. Le novice lui répondit qu'il devait identifier l'inconnu et en prévenir lyric bellus, par la suite. Sa curiosité attisée comme jamais, loor suivit le novice, mais resta sur ses gardes.Elle emporta un poignard si jamais cet homme était un ennemi.
Arrivés devant une meurtrière, le jeune novice cria :
- Présentez vous. Que venez vous faire ici ?

Loor senti dans sa voix un son peu assuré. Elle posa sa main sur son épaule pour le réconforter et lui montrer qu'il n'était pas seul.
Puis tous deux attendirent une réponse qui tardait à venir.

Cela faisait déjà quelques minutes que le guerrier était face à ces lourdes portes. Un foule de questions se bousculaient dans sa tête, pourquoi tardait on à lui ouvrir ? n’y avait il personne dans la forteresse ? allait on le tuer sans même savoir pourquoi il était venu ?

Des bruits de pas derrière la porte le sortirent de sa réflexion.
Une voix qui semblait provenir d’une personne plus jeune que lui demanda au guerrier ce qu’il voulait.
Il se mis donc à réfléchir sur les mots qu’il allait utilisés, il lui tenait à cœur de faire bonne impression afin de donner une bonne image de ses amis et de lui même.
Après quelques dizaines de secondes. Le guerrier retira son casque, laissant apparaître son visage. Il avait les cheveux bruns, lui arrivant au bas de la nuque, nattés, regroupés et tenue par une sorte de broche où était inscrit le mot « JUG ». Il avait les yeux marrons et une légère cicatrice près de l’œil gauche.
Il racla sa gorge afin de pouvoir énoncé d’une voix clair mais grave :

Bonjour. Je me nomme Jugernault, fils d’Alrator et membre de la famille des Winskleys.
Je suis membre des cauchemar de dragon et je viens en ces lieux par pur courtoisie afin de faire connaissance avec nos nouveaux alliés.
Le jeune homme ajouta, comme pour s’assurer le droit d’entrer : J’ai ici quelques présents a votre égard.

Le guerrier n’était pas très friand de ce genre de langage et préférait parler simplement. Ce langage lui semblait créer une certaine distance entre les individus dans une conversation.


Le temps passa, le guerrier ne sût si beaucoup ou peux de temps c’était écoulé puisqu’il était repartie dans sa réflexion. Se demandant si on allait le laisser entrer, si les gens étaient accueillant et si la guilde était composer de jolies femmes. Car la chose qui intéressait le plus le guerrier, bien avant l’alcool et le combat, était les femmes.

Au bout d’un temps certains, le jeune homme entendit des sons au niveaux des portes puis des cliquetis. Finalement les portes s’ouvrirent lentement et, au fur et à mesure qu’elles s’ouvraient, le cœur du guerrier battait de plus en plus. Tellement que le Drake qui était toujours derrière lui souffla, par ses narines, un trait d’air glacé en direction de la nuque du guerrier, ce contact glacé avec sa peau brûlante le fis frissonné. Mais ce frisson n’était rien comparé à celui qu’aurait pût ressentir le guerrier en découvrant ce qui s’offrait à ses yeux…





[ J'ai pas osé trop faire avancer l'histoire au cas où certains voudraient raconté quelques évênements qui se passe entre le moment où je me présente et le moment où les portes s'ouvrent ]

Alaror se balladait dans les rue vers la porte d'enceinte quand il entendue une voix qui lui était familiére. En effet il avait déjà rendue plusieur visites au cauchemar de dragon, et il y avait quelque connaissance, bien qu'il ne connaissait personne personnellement. Il écoutas la vois de Jug qui lui parassait bien étrange. A l'évidence il voulait paraitre ce qui n'était pas. Alaror eut un peutit sourire, a chaque fois qu'il avait entendue parler jugernault il n'avait entendue qu'un parlé rustre avec souvent des mos grossier et trés famillié. Il s'approcha et regarda vers le haut pour savoir ce qu'il ce passait. Quand il comprit il cria a l'intention du page.

C'est bon pas la peine d'aller demander de permissions a personne tu peut ouvrire c'est un amis de la maison.

Puis il reconnue loor avec sa lionne et un couteau a la main.

Loor tu peut ranger ça également, je ne voudrait pas que tu te blésse.

Puis il attendit un instant que les porte s'ouvre puis lorsque le guerrier avanca avec son drak a l'interieur de la citadelle il s'adressa a lui avec entrain.

Bienvenue a Karak shinden ! ça change de chez toi, mais j'esspére que tu a fait bonne route...

Loor se tourna vers le page :
- Va prévenir maître Bellus, et vite. Notre "invité" doit avoir besoin de se reposer et de trouver à se nourir. Dis lui de nous retrouver dans la salle à manger.

Le page hésita, ce guerrier l'effrayait, sa forte carrure l'impressionnait. Il n'arrivait pas à bouger.
- Allez, va! Alaror et moi sommes là pour l'accompagner. Dépèche toi si tu ne veux pas que maître Bellus perde patiente. Lança Loor. Ces derniers mots firent mouche et le page parti en courant prévenir le maître guerrier.

Elle se tourna vers le nouveau venu et l'invita, d'un geste, à le suivre. Ils pénétrèrent dans un long couloir aux murs d'un jaune éclatant et aux dalles rouges sombres. A chacun de ses pas le guerrier paréssait étonné de la splendeur des lieux. Cela amusa Loor qui se souvint qu'à sa première arrivée ici, elle ne voulut plus quitter les lieux, sauf pour urgence.Alaror ouvrit une porte sur leur gauche et pénétra dans la salle en invitant le jeune homme. Ses yeux parurent s'ouvrir en grand, montrant surement la surprise de voir un tel lieu dans une telle demeure. La pièce était fait de pierre grise, les fenêtres n'étaient autre que meurtrières aussi large qu'un doigt, une grande table en bois occupait l'espace peux de décorations ornaient la pièce mais celle si n'en restait pas moins chaleureuse et acceuillante.
- Assié toi, je vais t'apporter à boire et à manger, et pour ton drake aussi. Ah et puis sache qu'ici le beau parlé n'est pas trop de coutume, ni celui trop vulgaire. Jeta Loor par dessus son épaule, avec un grand sourire amusé.

Elle rentra dans une pièce mitoyenne, la cuisine, pour préparer le diner pour le guerrier.
- Shana viens ici ma belle et arrrête d'embéter ce drake, il est assez fatigué comme ça. Cria-t-elle à l'intention de sa Lionne.

Les portes s’ouvrirent et la surprise fût de taille.
C’était Alaror qui se trouvait derrière et qui salua la jeune guerrier. A la vue de son ami, une foule de sentiments se bousculèrent en lui. Il revécu les péripéties qui s’était déroulées lors de la première venue de l'élémentaliste sur les terres des cauchemar de dragon. Bien entendu son cœur et sa main se serrèrent quand il repensa à ce qu’il advint de Lars. Malgré cela, le fait de voir une personne qu’il connaissait rassura le jeune homme et lui donna le sentiment d’être presque comme chez lui. C’est ce sentiment et les mots de l’élémentaliste qui firent que le guerrier allait parler d’un langage qui lui était plus habituel.
Mais il se ravisa lorsqu’il vu la rodeuse accompagnée d’une lionne un peux plus loin qui regardait dans sa direction. Le jeune guerrier fit un léger baissement de tête en titre de révérence et vît la rodeuse lui faire signe de la suivre.

Il regarda Alaror, lui sourit et répondit à sa question d’une voix assez basse pour ne pas que toute les personnes présentes entendent :

Le voyage n’a pas ménager mon dos et j’ai l’impression de m’être assis sur un lit de braise tellement mon croupion me fait mal. Une bonne nuit de sommeil me fera du bien.



Les deux hommes se mirent à marcher derrière la rodeuse. Il entrèrent dans un long couloir aux murs d'un jaune éclatant et aux dalles rouges sombres qui laissa le jeune guerrier littéralement bouche bée. Décidément ces gens ont du talent pour ce qui est de faire de belles choses.
A cette pensée, les yeux du guerrier se posèrent sur le postérieure de la rodeuse, sa démarche était sensuelle presque féline et la vue de ses formes se balançant ouvrirent l’appétit du guerrier.

Il regarda Alastor et dit avec un sourire au lèvres :
Apparemment vous avez de jolies choses ici aussi . Pour appuyer ses propos il fit un mouvement de tête vers la jolie rodeuse.


Quelques pas plus tard, Alastor ouvrit une porte sur leur gauche. Le guerrier ne masqua pas sa surprise face au décor qu’il vu. Une pièce qui ressemblai, en quelque sorte, à la taverne qui était proche du hall des cauchemar de dragon. A ce moment, le jeune homme ne pensa plus à rien, où plutôt à tant de choses en même temps qu’aucune ne se distingua réellement . Il se contentai d’être là, à admirer la pièce. Au bout de quelques secondes il repris ses esprits et se dit que, vu comme l’endroit était isolé du monde, il fallait bien que l’on ai un endroit à l’intérieur même de la forteresse où l’on puisse partager chopines et bon gueuleton .


La voix de la rodeuse le sorti de ses réflexions. Il la vit se diriger dans une pièce mitoyenne, un magnifique sourire aux lèvres. Il repensa aux paroles de la rodeuse et rit intérieurement en s’imaginant derrière les portes. Comme il devait avoir l’air bête .

Il entendit la jeune femme appelée sa lionne et parler du drake. C’est alors que le jeune homme réalisa sa présence et en fût surpris. Il avait l’habitude que son compagnon aille lui même retrouver son endroit fétiche pour aller faire la sieste, mais puisqu’ils n’étaient pas chez eux ici, le pauvre Drake c’était contenter de suivre son ami.


A cette réflexion il demanda, d’une haute et intelligible voix, à ses deux hôtes :

Où est ce qu’il y aurait de la place pour que mon compagnon puisse se reposer tranquilement ?


Alaror se proposa de montrer à Jugernault les écuries, c’était un endroit calme et frais où pouvait se reposer tranquillement un fier destrier ayant porter son ami pendant plusieurs jours.

Avant de passé la porte le jeune homme dit à l’intention de la rodeuse, avec un sourire aux lèvres et d’une voix plaisantante :

Ne me fais pas de soupe à la tortue hein.



Puis les deux hommes se dirigèrent donc en direction des écuries.
Sur le chemin ils croisèrent quelques personnes. Jugernault était plus détendus et souria à tous ceux qu’il rencontrait. Certains avaient des regards inquiets et interrogateurs, sûrement dues à la présence du Drake ou celle du guerrier. D’autres encore étaient souriants et sympathiques. Par contre certains semblaient méfiants et distants, certains même sortaient une dague ou posaient la main sur le pommeau de leur armes comme pour montrer qu'il étaient près à en découdre si il le fallait.
Peut importe leurs réactions, la plupart des gens que le jeune homme croisa lui semblait puissants et respectables. Il sourit et se dit qu’il aimerai en affronter quelques uns en combat singulier, juste pour vivre un combat intense entre deux personnes qui se respectent.


Finalement il arrivèrent devant les écuries. Alaror indiqua un box libre et Jugernault y fit installé Apokalyps.
Le jeune guerrier caressa la tête du Drake en lui disant :
Repose toi bien. Je t’apporterai le repas qu’aura préparé la rodeuse.

A ces mots, une pensée frappa le guerrier, il ne connaissait pas le nom de cette si jolie jeune femme.
Il se tourna vers Alaror et, alors qu’il entamèrent les premiers pas du retour vers la salle, il demanda :
Au fait comment s’appelle cette si charmante rodeuse ?

((Petit bond en arrière lol^^))

Alaror écouta la réponse de Jug et ne put retenir un léger rire. Il se retourna et marcha avec le guerrier a côté duquel il avait l’air d’une crevette ce qui n’était pas vraiment le cas. En effet le guerrier le dépassait de plusieurs centimètres, et sa masse musculaire bien plus imposante le faisait paraitre tout frêle en comparaison. Mais en même temps ce n’était pas un élémentaliste se bâtant au bâton qui avait besoin de l’ossature et de la musculature d’un guerrier se bâtant au marteau, mais il est vrai que l’on ne se sent pas forcément bien a côté de ses montagne de muscle, bien sur Alaror avait l’habitude, il était allez plusieurs fois chez les CCR et il faut dire qu’ici a Karak aussi il y avait de sacret morceau. Il regardait marchait jug le voyant un peut déconcertait par le décor et impressionné surtout. Puis il lui fit une remarque sur loor qui marchait devant eux avec le beau déhanché qu’était le sien.

"Oui c’est vrai nous n’avons pas a nous plaindre, et tu n’a pas vue tout le monde. Nous avons aussi des moniales à faire fondre des icebergs du regard et des élementaliste chaude comme la braise ; enfin nous avons de quoi…"

Il vit le guerrier sourire puis il tourna sa tête, on était dans le couloir du bâtiment principale, et la salle à manger se trouvait quelle que pas devant eux. Comme Loor ne semblais pas vraiment bien connaitre cette partit du bâtiment. Alaror la soupçonnait de s’amuser a autre chose lors de ses temps libres, il avait bien remarquais qu’elle suivait la plupart des entrainements du jeune rôdeur qui lui-même ne manquez pas de se faire remarquer. Il sourie, ses comportements de jeunesse lui rappelez les siens. Il passa devant et ouvrit la porte de la salle a manger y invitant Jug et faisant signe a Loor d’y entrait caressant Shana au passage, ce gros chat était bien sympathique et craquant. Alaror lança tout bas pour que seule loor puisse l’entendre

Tu nous prépare quelque chose de ta spécialité ?

Puis il alla s’assoir en face de Jug. Puis c’est là qu’il se rendit compte de la présence du drack. Qu’est ce qu’il était bête il n’avait pas pensé à l’emmener aux écuries. Enfin l’écurie… était-ce vraiment un endroit approprié pour un drack ? Pas de raison qu’il soit dangereux si il était une monture. Il se leva et lui proposa de l’emmener aux écuries, c’était de toute manière le seule endroit qu’il connaissait où il pourrait loger sa créature. Alaror invita donc Jug à le suivre, et il lança au passage a Loor un on en a pour cinq minute on revient ne t’en fait pas.

Ils se dirigèrent donc vers les écuries où Apokalyps pourrait se reposer tranquillement. Sur la route ils croisèrent plusieurs novice et membres du clan qui semblèrent terrifié par le drack et le guerrier mais a la vue de Alaror, ils se contentèrent de méfiance, il était tout de même membre du clan. Enfin ils arrivèrent aux écuries ou il y avait plusieurs box de libre. Il choisi le plus éloigné de celui de Noland son destrier a qui il laissait constamment la porte ouverte qu’il puisse se balader tranquillement sans contrainte car son chevale était aussi libre que son maître

Alaror laissa Jugernault installer son drack seul, il en profita pour aller voir sa monture a lui, mais il n’était apparemment pas, là, il devait être partit en ballade. Il revient en arrière, où Jug était encor avec Apokalyps. Puis la question arriva.

Ha je l’attendais celle là. Il s’agit de la jeune et charmante Loor Zagda, mais celle là n’y pense pas, elle est une de mes plus chères amies, et son cœur est déjà pris. Mais si tu reste tu auras bien d’autre occasion de tester ton charme ou de te rincer l’œil. En attendons allons la rejoindre, ne la laissons pas seule trop longtemps.

Puis ils reprirent la direction du bâtiment dans lequel Loor préparait un peut de miam miam. Pareillement qu’a l’allé des regards se tournèrent vers eux, mais sans grande méfiance cette fois ci plus avec curiosité, le fait surement qu’Alaror était rarement accompagné lorsqu’il se baladait, ou du moins pas avec des guerriers. En effet Alaror tenait assez en horreur cette classe, bien qu’il ait appris à en connaitre quelque uns et a les apprécier. Mais la plupart des guerriers reste pour lui des barbares sans cervelle. Ils arrivèrent sans encombre devant la porte de la salle a manger ou il invita Jug a passer le premier…

(alaror les fautes... XD :p)

Loor posait la marmite sur la table lorsque les deux hommes arrivaient. Au visage d'Alaror, elle comprit qu'il avait reconnu se qu'elle avait préparé : Un énorme morceau de viande bien gras et épicé, accompagné de pommes de terres. C'était en l'occurence le repas préféré de son ami élémentaliste. D'un doux coup de pied elle intima à sa lionne de se pousser. Les deux hommes s'assirent et avec elle, mangèrent avec appétit ce repas rapide. Attiré par l'odeur ou la curiosité, de plus en plus de novices passaient et repassaient devant la pièce, comme s'ils avaient peur d'être prit entrain d'observer le nouveau venu. Loor se retourna vers sa Lionne et d'un mouvement de tête lui fit comprendre de chasser les invités inopportains. D'un pas souple, l'animal musclé aux poils dorés arriva devant la porte et grogna pour les effrayer. Dans la seconde qui suivit, tous les novices disparurent la queue entre les jambes.

-Désolée pour les curieux. Mais maintenant nous allons pouvoir manger tranquillement. Dit elle négligemment, en prenant soin de ne pas regarder les beaux yeux du guerrier (sons coeur est peut-être déjà prit, mais ça ne l'empêche pas d'apprécier les beaux garcons ^^).

Tombant sur un os qu'elle avait oublié d'enlever, il se leva et l'apporta à Shana, qui se régala. Elle sentit un regard l'observer, et cela l'étonnait. Moi qui ne suis pas la plus jolie arrive à attirer le regard de ce guerrier. et bien, il risque d'avoir des surprises en croisant les filles, se dit elle en s'empéchant de rire.Son visage l'attirait, elle se demanda si son torse en valait de le détour, mais chassa directement les pensées qui lui arrivaient en tête. Reprenant son sérieux, elle retourna à table et regarda ses compagnons manger, et disutant entre eux. Une question lui brulait les lèvres:

-Qu'est-ce qui t'amènne ici guerrier? La beauté du paysage ou l'envi de changemant?

Etonné, celui-ci releva la tête, un morceau de pomme de terre sur le menton. A cette vue, Loor ne put s'en empécher et rit aux éclats. Elle n'en avait pas l'habitude, et Alaror, qui s'étonna de la voir si joyeuse, en fut content. Le guerrier s'essuya, et s'appréta à répondre.

-Désolée de me moquer. Mais cela avait un coté étrangement comique, réussit à articuler Loor entre deux crises de rire.

Elle attendit la réponse du guerrier, tout en se demandant combien de temps Lyric allait-il mettre pour venir accueuillir le nouveau venu.

( désolé si j'ais été long mais j'ais été pas mal occupé ces derniers temps et j'avais plus trop la pêche pour rp )

Jolie prénom pour une jolie fille, voilà les premiers mots qui traversèrent l’esprit du guerrier quand il appris le prénom de la jeune rodeuse.
Il fût très déçu quand il sût que le cœur de la jolie rodeuse était déjà pris, mais fût plus que ravit en apprenant qu’il y avait d’autres jolies filles en ces lieux. Tellement ravit même qu’il sourit en imaginant à quoi elles pouvaient bien ressembler.

Les deux hommes revinrent rapidement à la cuisine, la faim du voyage se faisant sentir l’estomac du guerrier gargouilla allégrement. Les deux hommes entrèrent au moment où Loor apportait une marmite qui comportait des morceaux de viandes et des pommes de terre.
Tous trois s’assirent à table et commencèrent à manger. Une farandole de sensations venaient chatouillées les papilles du guerrier, des goûts qu’il ne connaissait pas le surprirent et le ravirent il se dit qu'il demanderait la recette afin de la faire cuisiner par les cauchemar de dragon. Il engloutit une bonne partie de son repas d’un trait, releva la tête et dit d’une voix heureuse :

Et bien ! En plus d’être jolie tu cuisine bien.

C’est à ce moment là, en relevant la tête, que le guerrier aperçut quelques gens qui passaient et repassaient sans cesse devant la cuisine. Cette vision lui fît froncer les sourcils et il se dit que si ces gens le considéraient comme un animal de foire il allait leur en donner pour leur argent. Il jeta un œil à son marteau et dût contrôler une poussé d’adrénaline qui l’aurait fait l’empoigner par la hampe et frapper violemment tous ce qui se serait présenter devant lui. C’est à ce moment que le rugissement de la lionne le sortie de ses pensées, chassant ainsi tous les curieux. Soulagé de ce fait, le guerrier replongea la tête dans sa "gamelle" .
Plongé dans son assiette il sentit la rodeuse se lever, instinctivement il redressa la tête afin de profiter du spectacle qui lui était offert. Quel dommage que son cœur soit prit, de ce plat là il en aurait bien manger aussi.

La rodeuse se retournant et lui faisant face, le guerrier replongea la tête dans son assiette. A ce moment là, Loor lui posa une question qui le surpris.Jugernault releva rapidement la tête, bouche bée, oubliant même d’avaler une pomme de terre qui tomba sur son menton. Le jeune homme regarda la rodeuse qui se mit à rire aux éclats. Le guerrier ne comprenait pas pourquoi et c’est, lorsqu’il posa sa main sur son menton le regard interogateur, qu’il compris se qui faisait tant rire la rodeuse. Il essuya la pomme de terre d’un geste de la main et éclata de rire à son tour en imaginant la tête qu’il devait avoir avec ce légume sur le menton.

Pendant que la rodeuse riait encore, le guerrier réfléchis à la question qu’elle venait de lui poser. Tout du moins tentait d'y réfléchir, il lui était assez difficile de ce faire tant la rodeuse était magnifique quand elle riait, des tas de pensées traversèrent son esprit mais peux d’entre elle concernait la raison de sa venue.
Une fois le calme revenue, le guerrier regarda ses deux compagnons présent avant de dire d’une voix grave mais hésitante :

Pourquoi je suis venu ici ? Disons que je ne le sais pas trop moi même. Le guerrier marqua un court temps de pause pour réfléchir. Certains membres du clan de la flamme sont venues rendre visite aux cauchermar de dragon, mais je n’ais jamais entendu l’un des membres de ma famille parler de ce lieux. Il ajoutat en souriant : J’ais donc décider de venir voir par moi même les beautés de votre monde, votre culture. Le jeune homme marqua une nouvelle pause, mais celle-ci plus pour contenir son émotion que pour réfléchir. Disons aussi qu’après certains évènements survenues chez les cauchemar de dragon je ressentait le besoin de changer d’air. Il regarda Loor dans les yeux, puis fit de même avec Alaror avant d’ajouter un sourire aux lèvres :
Je suis venue botter quelques fesses de Kurzicks aussi. Puisqu’il y a de grande chance qu’on coopèrent afin de réussir des quètes difficiles, il est toujours bon de connaître les point fort et les faiblesses de ses alliés. N’est ce pas ?
Son discours fait il pris en main une bière afin de la portée à sa bouche et d’en vider le contenue.



Le repas achevé, les trois compagnons se levèrent et avant de quitter la salle, le guerrier sourit puis demanda :
Bien, après avoir si bien manger il me faut à présent me laver. Le voyage a alourdie mes jambes un bon bain me ferait du bien.

Loor sourit à sa remarque.

-Suis-moi, je vais te montrer où tu pourras te reposer et de te laver. Dit-elle au guerrier.

Alors qu'elle sortait de la salle, avec Alaror et le guerrier sur se stalons, elle entrapercu, encore et toujours, les curieux bien trop peureux pour se montrer. Elle souffla, un souffle qui traduisit son écoeurement vis à vis de ces actions.

- Ici tu trouveras quelques personnes qui accèpteront de dueller avec toi, mais tu m'en excuseras, je n'ai pas le niveau pour tenir tête à un fort guerrier. Ajouta-t-elle avec un grand sourire. Mais si tu veux que l'on combatte côte à côte, je ne suis pas contre.

Tous trois montaient les marches qui les menaient aux chambres "d'amis". Elle prit alors a gauche, et longea un long couloir, celui-ci était décoé comme le reste de la forteresse. Un mélange de couleurs chaudes et froides, qui faisait ce sentir un voyageur chez soit. La décoration n'était pas abondante, mais de bons goûts. Quelques armures et tentures deci dela. Les portes de bois s'alignaient à gauche et à droite, Loor se retourna alors pour s'adresser au guerrier :

-Choisis la chambre que tu veux. Cette aile est réservée au voyageur, à l'opposé, il y a les chambres des membres qui souhaitent rester dans les "dortoirs" de la forteresse. Les autres ont leurs propres appartements plus loins. Repose toi bien, je te ferais parvenir quelqu'un pour t'annoncer que le bain est prèt.

Puis elle fit demi tourd, marcha sur plusieurs mètreset it une pose pour demander au guerrier :

-Au fait, pour ton bain, tu préfères une eau tiède, chaude ou bouillante?

A sa proposition, le guerrier suivi la rodeuse.
Les trois compagnons se mirent en route et traversèrent quelques couloirs, la décoration et le style des lieux continuaient d’émerveiller le jeune guerrier. Après quelques minutes, les deux hommes et la jeune femme gravirent des marche. A peine le jeune guerrier avait-il fini de monté l'escalier qu’une étrange sensation le saisie en voyant le décor. Il se sentais bien,... étrangement bien, étaient ce les couleurs qui lui rappelai la maison ? ou bien ses armures et armes exposées qui lui rappelait le champs de bataille ? le guerrier était perdue, emmitouflé dans ses sens et surtout dans cette joie, cette apaisement qu’il ressentait.
Il entendit la voix de Loor lui décrire la fonctionnalité des lieux mais ni prêta pas réellement attention, il était perdue dans ses songes et la voix de la rodeuse le berçait.

Son esprit se sépara de ses pensées quand la rodeuse lui posa la question sur la température de l’eau. Il fut d’abord surpris par cette question, plongé dans ces sentiments il en avait oublié qu’il n’était pas chez lui, au sein des cauchemar de dragon. Cette question ayant jetée un grand trouble en lui, le guerrier mis quelques secondes à répondre puis sourit à la jolie rodeuse en ajoutant :

De l’eau chaude s’il te plaît. Mes muscles sont fatigués et il faut les revigorés. A ce moment là le guerrier eu une pointe moqueuse sur les traits de son visage en ajoutant : Mais tout de même pas bouillante, je ne suis pas un hareng.
Il marqua une courte pause de réflexion puis demanda Et où pourrais je laver mon armure ?
Le guerrier n’aimait pas confier cette tâche aux autres, surtout ici où il n’était pas chez lui. Il ne faisait assez confiance à personne en ces lieux pour lui laisser le soin de nettoyer sa seule chance de survie dans un combat.

Sur ses mots il fit une révérence et se tourna vers les portes des chambres. Il choisis d’entrer dans celle qu’il sentait le plus et commença à enlever son armure. C’était une opération assez minutieuse qui prenait pas mal de temps, surtout si on la faisait seul.

Le temps passa et le guerrier avait finalement enlever son armure. Il était en caleçon et avait pour projet d'emporter de léger vêtements de cuir sur lesquels figuraient toujours les armoiries des cauchemar de dragons, n'étant pas propre il ne voulait pas salir les vêtements qu'il porterait après son bain.

Ce fût au moment même où il était fin près qu’on vint frapper à sa porte pour lui dire que le bain était près.
C'était le jeune novice qui lui avait demander qui il était lorsqu'il était venue pour la première fois en ces lieux qui se trouva derrière la porte que le guerrier venait d'ouvrir.

A sa vue, le jeune novice ouvra de grands yeux écarquillés, les cicatrices présentes sur le corps du guerrier devait surement impressionné le jeune novice. Peut être même lui firent-elles redouté le moment où lui même se verrai marqué par l'une d'elle.
Le guerrier vit le visage du novice et sourit afin de le réconforter.
Le novice tourna les talons et le guerrier le suivit vers les bains.

Sur le chemin qui le menait au précieux bain lui permettant de reposer son corps si lourd du voyage qu’il avait entrepris, le jeune guerrier et la personne qui l’accompagnait croisèrent un Juggernaut. Le guerrier avait entendu parler de ces géants qui servaient pour la protection des lieux Kurzicks mais n’en avait jamais vu de ses propres yeux.

A la vue de ce géant la réaction du guerrier le surpris. Son poing se serra et son corps commença à le brûler. Le fait de voir cet être lui rappelait pourquoi il portait ce nom et réveillèrent toute sa colère qu’il avait tant tenter d’endormir.

Pour que vous compreniez sa réaction laisser moi vous compter une histoire.
Jugernaut winskley était considéré de tous comme le fils d’Alrator, lui même d’ailleurs se considérait en temps que tel.
Mais il n’en était rien. En réalité Jugernault était le fils de l’ami d’enfance d’Alrator Winskley, cet homme était marchand au havre du pêcheur. Un jour il avait rencontré des Luxons qui en avait assez de la mer de jade et voulaient revoir la mer, la vraie. Ce marchand et ces Luxons avaient sympathisés et le marchand allait désormais de temps en temps leur rendre visite en Cantha. Malheureusement un jour, lors d’une de ces visites les luxons se firent attaquer par des Kurzicks accompagnés de Juggernaut et pour sa plus grande peine les parents du guerrier furent attaqués aussi. Réussissant tant bien que mal à se sauver à bord de leur bateau, les survivants réussirent à rentrer au havre. C’est à cet endroit qu’Alrator attendait son ami qui devait lui rapporter du jade Luxon afin de faire un collier pour l’anniversaire de son premier enfant âgé alors de cinq ans . Tout ce que vu Alrator à bord du bateau de son ami ne furent que cadavres et gens mourants. Le guerrier ( oui car Alrator était un fier guerrier ) accéléra le pas pour se rendre dans la chambre de son ami il ne trouva ici que le cadavre de la mère de Jugernault et son père, assis au pied du lit et mourant qui tenait un enfant en ces bras. A la vue de son ami, le marchand ouvris de grands yeux, une larme coula sur sa joue et il ne pût prononcer qu’un seul et dernier mot : Juggernaut . il prononça ce mot car il avait été surpris de voir qu’il existait une telle créature. Alrator, ne connaissant rien aux cultures Luxons et kurzick crut qu’il s’agissait là du nom de l’enfant. Le voyant vivant et en pleine santé, Alrator décida qu’il l’élèverai comme son fils en souvenir de son ami perdu.

C’est peut avant de rejoindre les cauchemar de dragon que Jugernault avait appris cette nouvelle. C’est d’ailleurs la raison principale qui lui fit quitter le cocon familial.
A cette époque, son corps bouillait et ne pensait qu’à la revanche et à l’extermination des kurzicks qui avaient tués de pauvres innocents.
Au fil du temps et en vivant auprès des cauchemar de dragon, il avait oublié ce sentiment de vengeance et avait compris qu’il ne fallait pas faire l’erreur que ces kurzicks avait commis. Si il venait à tuer n’importe quel Kurzick qui croiserais sa route juste pour cette simple raison il se conduirai alors aussi lâchement que ceux qui avaient commis cette immondice.
C'est à cette réflexion qu’il sortit de sa torpeur, il se rendis compte qu’il était en train de s’énervé contre un être qui n’était pour rien dans cette histoire. Ce n ‘était pas ce Juggernaut là qui avait mis à mort ses parents, se n’était donc pas à lui de payer.

Le jeune homme compris son erreur et se calma. Mais il était trop tard, le Juggernaut ayant sentie la haine et l’envie de tuer qui émanaient du guerrier, avait déjà brandi en l’air son bras afin de le faire retomber lourdement sur le jeune homme . Sans son armure, le guerrier savait que s’il prenait de plein fouet le coup il y laisserai sûrement la vie.

Heureusement pour le jeune guerrier, Balthazar devait veiller sur lui car le novice arrêta le bras du géant dans sa course. Alors que son sauveur allait réprimander le mastodonte qui n’avait fait que son devoir, Jugernault mis un genoux à terre devant la créature et dit de la voix la plus sincère qu’il put :

Je suis désolé, veuillez me pardonner. Il souffla un grand coup et dit, plus pour lui même qu’autre chose : Ce n’était pas contre vous.

Il releva alors la tête, regardant le géant d’un regard sincèrement désolé.
Le juggernaut reconnue la sincérité du geste et s’écarta.

Le novice attenda que le guerrier se relève, puis ils firent quelques pas afin d'atteindre la salle des bains. Le novice poussa la porte et le guerrier entra. La porte se referma derrière lui et il commença à se déshabiller puis entra dans l‘eau.
La chaleur qui se dégagea de ce contact revigora les muscles du guerrier et lui firent ressentir une agréable sensation de bien être.
Croyant être seul, le guerrier poussa un long soupir et dit :

Faut vraiment que j’arrête d’être excité comme ça après un long voyage.

A ce moment précis, alors que les sons de ses paroles se perdirent dans la salle, le guerrier entendit un bruit. Si tôt il plaça ses poing en position de combat et scruta les alentours. Il lui était difficile de voir à cause de la buée émise par l'eau chaude, mais il appercevais tout de même une forme dans la pièce.
Il baissa légèrement les poings mais continuait tout de même a les gardés à bonne hauteur afin de tenter de réagir en cas d'attaque.

Le jeune guerrier scrutait la forme dans la buée tout en la défiant du regard puis dit d’une voix peut amicale :
A qui ais je l’honneur ?

(vut que personne n'a l'air chaud pour RP on va avancer, 'fin sauf si tu veux pas ^^)

Cela faisait environ une heure que le guerrier prenait son bain, Loor dans le couloir attendait avec de quoi le sécher. Elle n'osait rentrer de peur de le déranger. Lorsqu'un page passa elle l'appela:

-Excuse moi, peux-tu rentrer dans cette salle? Il faut apporter des serviettes au guerrier, mais je n'ose entrer, cela pourrait paraitre impoli. Il accepta. Elle le remercia donc, et attendit pour reconduire le guerrier, de peur qu'il ne se perde dans cette immense forteresse.

Après plusieurs minutes, la porte se rouvrit, le page sortit suivit du guerrier qui paraissait en bien meilleur forme.

-J'espère que le bain t'as plu, maintenant tu as le choix, tu retournes dte reposer, où je te fais visiter le peu que je connaisse de cette forteresse. L'interpella Loor.

((han han nan nan c'est sans compter sur moi loor ^^))

petit flash back ? ou simple explication^^

Imrion avait eut vent de l'arrivé d'un étranger, et forcément elle avait était intrigué par cette nouvelle. Elle n'était pas allez fourer son nez bien que curieuse de nature elle voulais voir qui étais-ce et a quoi ressemblait-il. Elle resta tout de même a sa place, a fair ses herbes. Elle était occupé a l'infirmerie de l'hopitale ou elle était entrain de faire l'inventaire des médicament et reméde qu'ils avaient, et si il fallait elle refaisait des mélange d'herbes.

Puis quelqu'un vint la prévenire qu'il fallait faire coler un bain pour l'étrangé qui était arrivé. C'était un guerrier qui réclamait un bain chaud mais pas bouillant pour ce remétre de son voyage. imrion ayant fini se qu'elle était occupé a faire elle sortie de l'infirmerie et pris la direction des bain. Elle profita de son passage pour prendre quelque produit et herbes revigorente, qu'elle pourais mettre dans la bain qu'elle ferais couler.

Arrivé dans le batiment des bain elle se dirigea dans la salle des chauffaud. Elle fit mettre du charbon et de l'eau dans les chaudiéres et donna les instruction quand a la température de l'eau. Elle se dirigea ensuite vers la salle 1, la salle de bain la plus grande, et elle y alluma les ciérge qui l'entourait. Ensuite elle répendit un peut d'encens pour rendre le bain du guerrier plus agréable, puis une fois tout ça fait elle retourna dans la salle des chaudiéres pour réclamer l'eau. Des Novice la suivirent avec des caudron d'eau chaude, qu'ils allérent verser dans le bain. Une fois toute l'eau écoulé, Imrion renvoya les novice.

Elle sortit ses lotion et en versa une dose dans l'eau, puis elle pris une pincé d'herbe Aphrodisiaque qui était reviguorente puis elle se dirigea vers une fenêtre pour l'ouvrire pour créer un vent frais, mais la porte s'ouvrie a ce moment . Un grand homme entra et comenca a se deshabiller. Imrion ce colla a la parois pour ne pas ce faire voir contant sur l'ombre des ciérge pour la dissimuler. Ancienne Ninja elle pouvait ce déplacer sans faire de bruit, elle comança donc a ce diriger vers la porte pour sortire sans se faire voire, mais étant donné sa curiosité naturelle elle ne ouvait s'empécher de regarder l'étrangé pour voir a quoi il resemblait.

Evidament comme elle ne faisait pas attention a ce qu'elle faisait elle se cogna contre un ciérge au moment ou le guerrier entrait dasn son bain

*quelle idiote* ce dit elle pour elle même

Elle espéra qu'il ne l'avait pas entendue en restant imobile, mais celui ci ce retourna et ce mis en position défencive en demandan qui était là. Imrion ce redressa alor pour étre plus digne, elle ce frota un peut son habit sur lequelle il y avait un peut de cire, puis elle sortit de l'ombre et avença dans la lumiére.

"Bonjour je suis Imrion du clan de la flamme désolé, je ne voulais pas vous déranger, je cherchais juste a sortire sans me faire remarquer..."

La forme dans la brume se rapprochait et plus elle se rapprochait plus le guerrier relâchait sa garde. Car plus la forme se rapprochait plus ses courbes semblaient féminines ce qui n’était pas pour déplaire au jeune homme.

Lorsqu’elle sortit de la brume, le guerrier vu une jolie jeune femme brune qui semblait à peut près avoir le même age que lui. C’était du moins une approximation que fit le guerrier puisqu’il n’était pas très doué pour deviner l’âge des gens.

La jeune femme se présenta et sa remarque fit sourire le guerrier. Il ajouta presque aussitôt d’une voix taquine :

Et bien c’est réussi ! Il pris un regard rusé et ajouta Tant que tu es là pourquoi ne viendrais tu pas te joindre à moi dans ce bain ?

Devant la réaction négative de la jeune femme, le guerrier baissa les yeux et fit une moue en disant : Comme tu veux, mais c’est bien dommage. Il se dit dans son fort intérieur qu’apparemment ce n’était pas aujourd’hui qu’il pourrait jouer de son marteau.

Les pas de la jeune femme le sortirent de ses pensées et il s’empressa d’ajouter avant qu’elle ne passe la porte : Au fait, je m’appel Jugernault, enchanté d’avoir fait ta connaissance.
La jeune femme franchit la porte et Jugernault souri en pensant qu’Alaror avait raison, ce lieux était peuplé de jolies femmes.


Le temps passa et le jeune guerrier profitai de chaque secondes à se détendre dans ce bain bien chaud.

Au bout d’un moment la porte s’ouvrit et sans regarder le guerrier ajouta avec un sourire dans la voix :

Finalement tu a changé d’avis et tu veux te joindre à moi ?

Le page qui venait d’entrer se mit à rire et Jugernault tourna la tête et fut horrifié de voir un homme, il s’empressa d’ajouter : Je retire ma proposition.
Les deux hommes se mirent à rire puis quand le calme fût revenu, le page expliqua la raison de sa venue. Le guerrier sortit de l’eau et commença à se sécher, puis à enfiler les vêtements de cuir qu’il avait apporté. Une fois qu’il fut près, le page ouvrit la porte et les deux hommes sortirent.

La vision qu’il eu en sortant le ravie, tellement même qu’il afficha un large sourire. Loor se trouvai là et l’attendait. Arriver à sa porter, le guerrier sourie et lui dit : Tu aurais du entrer, je ne t’aurais pas manger. Enfin la manger….le guerrier aurait bien voulue, mais pas comme on mange de la chair de Drake.

Le jeune homme écouta la jolie rodeuse, puis sourit avant d’ajouter :
Me reposer ? Si tu viens avec moi pas de problèmes. Sinon non, après ce bain je suis d’une forme olympique, allons plutôt visiter un petit peux les environs.
Le guerrier pensa alors que se qu’il aimerait visiter surtout était plutôt les appartements de la jeune rodeuse.



[ comme à chaque fois, si quelqu’un veux que je change quelque chose qui ne lui plait pas je le ferai ]

Loor fit comme si elle n'avait pas entendu les avances du guerrier, mais rougit malgré elle. Sans l'attendre, elle avança, ne se retourna pas pour voir s'il la suivait. Les pensées se bousculaient dans sa tête, elle se demandait où pouvait être Tom, s'il reviendrait un jour. Il lui manquait, mais elle ne pourrai l'attendre éternellement.
Plongée dans se spensées, elle n'avait pas senti que le guerrier l'avait rattrappé. A sa tête, elle vit qu'il s'inquiétait pour elle, elle n'avait pas controlé les expressions de son visage.

-Où veux-tu aller? Ca te dit une sortit en plein air? C'est-à-dire le coin où l'on s'entraine lorsqu'il fait beau. Car je ne pense pas qu'une ballade en forêt soit ton truc.

Elle le trouva atrocement séduisant dans ses vêtements légers et ses cheveux, longs, tressés n'arrangeaient rien à son charme. Elle pressa la pas, et se dit que décidemment, elle ne pouvait s'empécher d'apprécier les muscles et le côté sauvage d'un guerrier.

(désolée pour la qualité du RP, mais avais pas d'idées)

( Pour les cheveux, à savoir si ils sont longs ou pas, tout est relatif ^^ j’ai dit dans la description de Jug qu’ils lui arrivent au bas de la nuque. Est ce que tu considère que c’est long ? ^^

Sinon désolé pour le temps de réponse, mais maintenant que je suis en vacance je devrais pouvoir suivre ton rythme :p Faut dire que tu décoche les posts encore plus vite que tes flèches ^^ )




La jeune rodeuse accéléra le pas et partit d’un pas pressé en direction de la sortie de ce long couloir.
A la réaction de la jeune femme, Jugernault fit une moue et se demanda s’il ne l’avait pas vexé en agissant de la sorte. Il savait bien qu’il lui arrivait d’être parfois un peux trop bourrue et direct, mais il n’y pouvait rien, c’était son comportement de guerrier.

Après avoir poussé un cour soupir qui exprima toute les émotions que le guerrier ressentait contre lui même, il accéléra lui aussi le pas afin de rejoindre Loor.
Arriver au même niveau que la rodeuse, le cœur du guerrier se crispa. Elle semblait si inquiète et si triste que le jeune homme fut pris d’horrible remord en se répétant qu’il se pouvait que se soit sa faute.
Il allait prononcé quelques mots de réconfort lorsque la rodeuse le regarda dans les yeux, se ressaisie et lui demanda où il voulait aller. Elle fini en lui disant que les balades en forets ne devait pas être son truc.
A ces mots, le guerrier posa une main sur ses fesses tout en repensant à la douleur qu’il ressentait avant de prendre ce bain qui l’avait tant revigoré.
Il sourit et ajouta :

Avec toi j’irais jusqu'à devant Grenth lui même s’il le fallait. Repensant à la réaction de la rodeuse, son sourire se referma et il prit un visage sérieux afin d’ajouter : Il faut d’abord que je lave mon armure, pourrais tu m’indiquer l’endroit où je pourrais le faire s’il te plaît ?
Le jeune homme sourie et ajouta : pendant ce temps, si tu n’a rien d’autres à faire tu peux venir avec moi et voir comment un fier guerrier nettoie sa meilleure amie. Sinon tu me montre quelle est ta chambre afin que je vienne te chercher une fois que j’aurais finis. Le guerrier marqua une courte pause puis dit : Après j’aimerais bien voir l’endroit où vous vous entraînés, ça m’a l’air intéressant. Le guerrier sourie a nouveau, il remarqua d’ailleurs qu’il lui arrivait souvent de sourire quand il parlait avec la rodeuse. Peut être était ce sa beauté qui le rendait joyeux. Après cette réflexion personnelle il ajouta : Bien sur on ne va pas rester là bas toute la journée,à admirer je ne sais quel machine de combat. Après ce petit entrainement, j’adorerai faire une balade en foret en ta compagnie


Après ces paroles, la rodeuse pressa a nouveaux le pas afin de se diriger vers la sortie, Jugernault la suivie et s’arrêta dans ses appartements où il prie son armure et ses armes.

Le tout étant très lourd, le guerrier cria à l’intention de la rodeuse : Loor attend moi, je ne suis après tout qu’une tortue Luxonne.

(mais euh, j'écris que quand j'ai d'l'inspiration XD ,d'ailleurs ca fait une semaine que je dois repondre à une autre RP ... ^^ enfin bref commençons ^^)

Loor appréciait les paroles du guerrier, il ne s'embétait pas à les emrober de beaux mots, il était direct, mais pas sans manque d'attention. Elle l'accompagna donc jusqu'à sa chambre, où il y récupéra son armure. Et de son pas, toujours rapide, elle l'emenna à la forgerie, pour savoir o!ù il était possible de laver la magnifique "meilleure amie" du guerrier.

-Une tortue? Elle ne put s'empécher de rire en imaginant une énorme tortue en armure à la plce du guerrier. C'est une image très ... intéressante. Son rire s'amplifia. Tu serais très mignon en tortue.

Prise de fou rire, elle accéléra le pas, en lui jetant de petits regards, l'imaginant ramper sur le carrelage, bien plus lentement et maladroitement qu'une tortue normale. Son pauvre fou rire ne peut se calmer. Elle essaya de s'excuser entre deux hoquets, mais ne réussit pas. Elle s'en voulait car peut être que le guerrier n'appréciait pas que l'on se moque de lui. Mais c'était plus fort qu'elle, elle ne pouvait s'arréter de rire.

Tous deux partirent donc en direction de la forgerie, elle riant et lui essayant de suivre le pas trop rapide de la rodeuse. Enfin, elle dit :

-Je, Je suis désolée, mais t'imaginer en tortue c'est tellement drole, et assez ridicul. Excuse moi si tu n'aimes pa que l'on se moque de toi. Je n'ai pas put m'en empécher.

Puis elle continua à marcher, se disant qu'après un bon nettoyage de l'armure, ils iront se ballader dans la forêt, dans son domaine...

snif, a plus de jugernault :'(

( Désolé du temps de réponse énorme >_<
Pas mal de truc qui se sont passés et donc peux de temps pour réfléchir à quelque chose de correct ^^
J'espère amélioré ça pour les prochains )


Après ses mots, la jolie rodeuse se mis à rire, ce qui fit sourire le guerrier. Qu’elle était belle lorsqu’elle riait.
Entre deux rires elle dit que l’image qu‘il avait formulée était très intéressante. A ces mots le guerrier imagina quelle image avait bien put jaillir dans l’esprit de la rodeuse et se mis à rire aux éclats en imaginant ce à quoi il pourrait ressembler en tortue.

La jeune femme accéléra encore le pas et il devenait difficile pour le guerrier de la suivre, plus par les tremblements qui asseyaient son corps puisqu’il qu’il rigolait que par la vitesse de la jeune femme. Une des pièces de son armure commença à glisser se qui fis reprendre son sérieux au guerrier, il ne fallait surtout pas qu’une des pièces viennent à tomber sur le sol. C’était avant tout une histoire de respect pour son armure et de fierté personnelle. Il fallait aussi avouer que si une pièce venait à tomber il lui faudrait se baisser pour la ramasser et ainsi risquer d’en faire tomber d’autres.


La ballade vers la forge continuait ainsi que le fou rire de la rodeuse. Au bout d’un moment le guerrier hésita à rebroussé chemin et à aller se réfugier dans ses appartements tant la rodeuse semblait possédée par un démon du fait de ce fou rire qui n’en finissait pas. Bien entendu le jeune homme ne pensait pas sérieusement ça et il sourit à cette idée, c’était en quelque sorte une revanche personnel contre cette petite femme qui riait tant de lui.

Arriver à proximité de la forge, la rodeuse s’excusa. Le guerrier sourit et ajouta :
Ce n’est pas grave, je suis heureux, au moins je te distrait. Il feinta de prendre une mine sérieuse et dit : De toute façon je te défi en duel pour laver mon honneur. Puis sourit à nouveau.

Il aurait bien mimer une scène de gentil homme en provoquant un autre en duel s’il n’avait pas cette encombrante armure à porter.




Enfin la rodeuse se stoppa à l’entrée de la forge. Elle entra demander les informations dont ils avaient besoin tandis que le guerrier resta à l’entrée.

Il faisait extrêmement chaud à l’intérieur de la forge et le guerrier, non équipée de son armure, se sentait faible comme un oisillon qui venait de quitter l’œuf. De se fait il préférait ne pas interférer et ne pas s’approcher trop des membres présents ici. Il faut tout de même ne pas oublier qu’il portait une armure créée par les Luxons et qu’il était ici entouré de Kurzicks, sans son armure et les mains encombrées il ne serait pas à même de combattre s’il le fallait .

Il regardait donc de loin la rodeuse parler avec un homme qui lui semblait être le maître de la forge tant l’homme semblait puissant. Il regarda les autres personnes présents dans la forge et y vit un grand nombre de gens qui semblaient très puissants, dont pas mal de jolies femmes.

Loor ne comprennait pas la moitié des propos du forgeron. Mais dans cette langue inconnue certains mots se firent reconnaitre : "huile", "torchon", "pièce dans le font de la forge"...
Elle se retourna pour faire signe au guerrier de la suivre, mais surprit son regard; dirigé vers deux jeunes femmes brunes en pleine discution : une guerrière et une parangon. Etrangement elle ressentit une petite pointe de jalousie. Le guerrier ne s'intéressait plus qu'à elle. Elle chassa cette impression et demanda au jeune homme de la suivre, un peu froidement mal gré elle.

Ils arrivèrent dans une pièce pleine d'objets pour nettoyer,finir ou réparer une armure. Elle ne se sentait pas à sa place mais lui paraissait aux anges. Il déposa son armure sur une table de bois et rapprocha un tabouret pour s'assoir. Et dès ce moment entreprit de nettoyer sa "partenaire" avec de nombreux produits qu'elle ne connaissait pas. De son coté Loor, qui se sentait étrangment abandonnée, se mit à observer cette salle qu'elle ne connaissait ni d'adam ni d'ève. Elle était, comme toute la forteresse, de pierres grises. Une seule petite inserstice permettait au soleil d'entrer. De nombreuses étagères en bois peuplaient les murs, pleines de bocaux ou d'outils pour la fabrication d'armures. Dans sa contemplation elle ne remarqua pas que l'étranger avait fait une pause dans son nettoyage pour l'observer, il avait un étrange sourire qui, si elle l'avait vu, l'aurait fait rougir jusqu'à la racine des cheveux.

Quelques minutes plus tard, ou heures, un toussotement se fit entendre, la forcant a sortir de sa contemplation. En se retournant, elle remarqua que le forgeron attendait à l'entrée de la salle, avec un regard interrogateur. Voyant qu'elle avait enfin remarqué sa présence, il lui demanda d'une voix grave, caverneuse :

- Avez-vous finis avec l'armure? Car je vais avoir besoin de la pièce pour m'occuper des détails d'une autre.

Il paraissait mal à l'aise, comme s'il pensait avoir dérangé.
Loor se retourna vers Jugernault, lui demandant silencieusement s'il avait finit.

Le jeune homme était perdu dans ses pensées, si bien qu’il ne vu pas le geste de la rodeuse et fut rappeler a la réalité lorsqu’elle l’invita à la suivre. Il la regarda et lui sourit, mais elle avait déjà tourner les talons et commençait à se diriger vers une pièce au fond de la forge. Le guerrier la suivie en essayant de ne faire tomber aucune pièce d’armure dont il avait oublier la présence pendant un cours laps de temps.

Les deux jeunes gens entrèrent dans une salle battit avec des pierres grises. Et dans laquelle une seule petite interstices permettait au soleil d'entrer. A cette vue le guerrier se demanda ce que les Kurzicks pouvaient bien avoir comme problème avec la lumière du soleil. A ces mots il esquissa un sourire en coin. Puis continua de promener son regard à travers la pièce, de nombreuses étagères en bois peuplaient les murs, pleines de bocaux ou d'outils pour la fabrication d'armures. Ici il retrouvai une part de son univers et se sentais bien. Il déposa sur la table toutes les pièces qui composaient son armure et alla chercher dans les étagères ce dont il avait besoin pour en prendre soin. Assis sur le tabouret devant la table, il saisit le buste de l’armure et comment à le frotter doucement. A chacun de ses gestes revenaient certains souvenirs, des bons comme des mauvais, des moment de franches rigolades, des amis morts au combat,… Le temps passait et le jeune homme en avait presque finis. Il agrippa à présent la dernière pièce qui lui restait à nettoyer, son casque. Fier ami qui protégeai son crane à chaque fois, protégeant aussi par la même occasion la partie de son corps qui lui servait le moins lors des conflits, son cerveau.

Il en avait désormais finis et c’est quand il posa son casque sur la table qu’il regarda la jeune femme présente depuis tout à l’heure et qu’il avait oublié, tout absorber qu’il était par sa tâche.
Ce qu’il vu réjouis le guerrier, la jeune femme était là à regarder tout autour d’elle comme un enfant qui découvre un nouveau jouet, plongée dans sa réflexion, le guerrier trouva que son visage avait une expression magnifique et il resta là à la contempler comme on contemple une apparition de l’avatar de la déesse Dwayna.
L’esprit du guerrier partit dans un ensemble d’idées confuses et entremêlées où il se voyait, lui et la jeune femme en train de goûter aux plaisirs de la vie. En imaginant se qu’il aurait put se passe, le guerrier ne put retenir un sourire prononcer qui marquai toute la joie que lui procurai cette idée.




C’est à ce moment là que la rodeuse se retourna vers le forgeron, le guerrier sortit de ses pensées et entendit l’homme demandant s’il en avait finis. La jeune femme se retourna vers lui et lui demanda silencieusement s’il avait finis. A ces mots le jeune homme souris, se leva, et demanda à la rodeuse si elle pouvait l’aider à enfiler son armure.

Il fit un signe de la tête au forgeron, lui demandant de sortir, puis enleva ses vêtements de cuir. Il avait en dessous de fins vêtements de tissu qui lui servait à protéger sa peau. Il enfila la cotte de maille et demanda l’aide de la jeune femme pour enfiler le reste. Il aurai put le faire lui même mais il lui aurait fallu beaucoup plus de temps. Pendant qu’elle l’aidai à enfiler son armure, le guerrier sentait la présence et parfois le touche de la rodeuse se qui faisait monter un feu destructeur en lui. Comme il dut se retenir pour ne pas l’attraper et goûter à ses lèvres.




Son armure sur le dos, le guerrier se sentait à nouveau au mieux. Il portait ses vêtements de cuirs dans ses mains et alors qu’ils sortaient de la forge, il sourit à la rodeuse et lui dit : Je vais déposer ses vêtements, attend moi là et après nous irons où bon te semble.
Le guerrier se mit en marche vers les appartements où il allait passer son séjour. Sur la route il croisa quelques personnes, certaines avaient l’air surprises puisqu’elle ne savait pas qui il était, d’autres le saluèrent ce à quoi il répondait toujours par un sourire suivi d’une salutation.

Le temps de faire l’aller retour et il avait retrouvé la jolie rodeuse, il lui sourit encore une fois et demanda : Alors où va-t-on cette fois ?

Pendant qu'elle aidait le guerrier à ajuster son armure, Loor ce demandait comment il était possible de bouger avec toute cette feraille sur le dos. Déjà que son grand manteau la génait pour chasser, elle ne comprenait pas comment l'on pouvait supporter un tel poids lors d'un combat. Tout à son affaire, elle ne remarqua pas que le guerrier était tendu comme un arc, se controlant pour ne pas laisser aller ses pensées d'homme.

Elle acquiessa lorsqu'il lui demanda de l'attendre. Et pendant les quelques minutes que durèrent son allé et retour, Loor observa chaquer personne présente, tout en gardant bien de les offusquer. Elle fut étonnée de le voir sourire si franchement lorsqu'il lui demanda où elle voulait aller. Elle réfléchit donc à cette proposition. Où pourrait-t-elle enmenner cet étrange jeune homme sans qu'il soit prit de fatigue au bout d'une heure de course? Elle ne trouvait pas. Tous les endroits qui pour elle étaient magique se trouvait trop loins pour un homme affublé d'une si lourde armure. C'est pourquoi elle décida de l'enmenner se ballader dans la lande. Et sans un mot, elle se diriga vers la porte de la forteresse,. Il la suivait, l'air intrigué de ne pas savoir où elle l'enmennait. Tout à ses pensées, elle récupéra son arc dans l'armurerie, son carquois pleins de flèches, mais n'alla pas chercher sa lionne. Elles n'allaient pas chasser, celle se serait ennuyée. Elle ouvrit la porte, sentit le doux air de cette prairie qui l'avait tant fait réver. Et sans réfléchir se mit à courir, elle ne pensait plus au jeune homme médusé qui se trouvait derrière et qui avait tout le mal du monde à la suivre. Elle ne pensait plus à rien d'autre que cette liberté qui l'habitait dès qu'elle se retrouvait en pleins milieu des arbres. Ce ne fut qu'aubout de plusieurs appels du guerrier qu'elle se souveint de sa présence. Mais ceux-ci étaient lointains, beaucoup plus éloigné qu'il ne l'aurait fallut. Elle s'arréta donc, hésita et fit demi tour. Il était si éssouflé qu'il n'arrivait plus à présent, à dire le moindre mot. Il la regardait bizarrement, très étonné par ce comportement, ce demandant surement ce qui lui était passé par la tête de courire aussi vite et aussi loins, sans l'attendre. Et si cette ballade était une bonne idée. Elle le regarda s'assoir désolée de son comportement, et lui donna de quoi boire.

- Je suis désolée. Furent ses premières paroles après plusieurs minutes de silences.

Elle le regardait s'hydrater et une idée enfantine lui passa par la tête. Elle prix la deuxième gourde qui était attachée à sa taille et avec un regard pleins de malice la lui vida sur la tête. Il parraissait encore plus étonnée par la rodeuse. Ne comprennant sûrement pas son comportement. Il était si changeant, si impulsif. Et pendant qu'il restait assit, hébété, elle courait déjà se cacher dans les bois avec un sourire jusqu'aux oreilles, pleins de nouvelles idées pour désappointer son nouvel "adversaire".